benoît hamon - Page 9
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Absence de professeurs, manifestation des policiers, division de la gauche, budget de l'Éducation nationale, candidature de François Hollande et revenu universel : Benoît Hamon répond aux questions de Jean-Pierre Elkabbach
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L'actualité des socialistes du 7 au 13 octobre
A LA UNE
Le Monde - « Hollande se permet encore de carboniser les lambeaux de popularité qui lui restent »
Les confidences du président à nos journalistes est comparé par la presse française du week-end à une « épitaphe » scellant ses chances de réélection.
Le Monde - « Certains proches de Hollande sont consternés par la sortie de son livre d’entretiens »Les réponses à vos questions sur les conséquences des confidences du président par notre journaliste qui couvre l’exécutif.
Avec la publication des bonnes feuilles, ces derniers jours, de Un président ne devrait pas dire ça, dans lequel le chef de l’Etat se laisse aller à la confidence avec les journalistes du Monde Gérard Davet et Fabrice Lhomme, François Hollande est de plus en plus isolé. Quelles sont les conséquences politiques d’un tel ouvrage ? Bastien Bonnefous a répondu aux questions des internautes.Dans «Un président ne devrait pas dire ça», deux journalistes rapportent des propos de François Hollande sur Marianne, l'islam et l'immigration. Laurent Bouvet décrypte ces déclarations qui n'ont pas tardé à faire réagir la classe politique.
.... "nous ne sommes pas dans un choc ou une guerre de civilisations, nous sommes pris dans un affrontement idéologique contre une vision identitaire, extrémiste, de l'islam, que nous soyons musulmans, d'autres religions ou athées. Et en l'absence de mobilisation politique de tous les républicains, face à cette vision identitaire de l'islam, se déploie une autre vision identitaire, celle d'une civilisation française, blanche, catholique, éternelle et immuable."
Marianne, Joseph Macé-Scaron - 12 octobre 2016, le jour où la campagne d'Hollande s'est crashée
Entre une longue interview dans la presse sans vision d'ensemble, un nouveau livre-confession catastrophique et une énième joute avec Valérie Trierweiler sur l'affaire dite des "sans-dents", ce 12 octobre - qui devait marquer une fracassante entrée en campagne - est un pitoyable fiasco pour François Hollande.
HAMON/MONTEBOUG
Le Point - Hamon et Montebourg, entre mains dans le dos et coups d'épaule
Il y a deux ans encore, ils s'affichaient côte à côte à la Fête de la rose. Les voilà aujourd'hui opposés au premier tour de la primaire de la gauche.
HAMON
Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche pour la présidentielle de 2017, était, lundi 10 octobre, l'invité de franceinfo. Le député PS des Yvelines prône la légalisation du cannabis pour mettre fin à l'hyper-violence dans certains quartiers.
MONTEBOURG
Libé - Primaire : Montebourg et le rassemblement à géométrie variable
En annonçant qu'il ne fera pas campagne pour François Hollande si celui-ci devait remporter la primaire de la «Belle Alliance populaire», l'ancien ministre de l'Economie a le mérite de la clarté, moins de l'élégance ou du fair-play.
Le Républicain Lorrain - Arnaud Montebourg : « Je ne pouvais pas ne pas revenir à Florange »
De retour en Moselle, l’ex-ministre de l’Economie enfonce le clou des divergences qui l’ont opposé à l’exécutif sur le dossier Florange. Des « erreurs » qu’il souhaite voir éviter dans la reprise des chantiers de Saint-Nazaire.
L'ancien ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a assuré mardi sur franceinfo qu'il accepterait le résultat de la primaire du PS à laquelle il concourt, même si elle était remportée par François Hollande, tout en précisant qu'il ne ferait pas ensuite "le chauffeur de salle" pour le président sortant.
Le Monde - Montebourg, ministre (presque) malgré lui
On appelle cela déminer le terrain. Accusé régulièrement par ses adversaires d’avoir soutenu François Hollande, lors de la primaire de la gauche de 2011 puis au cours des deux premières années du quinquennat lorsqu’il était à Bercy, Arnaud Montebourg a décidé de mettre les choses au point dans un livre publié mercredi 12 octobre, intitulé Le retour de la France (Editions J’ai Lu, 96 p., 3 euros), dont Le Monde a pu se procurer une copie.Arnaud Montebourg passe la journée sur Toulouse. C’est sa première sortie après l’officialisation de sa candidature à la primaire du Parti Socialiste. L’ancien ministre a choisi une terre « conquise ». Arnaud Montebourg doit (encore) convaicre les électeurs toulousains. Mais il est déjà solidement implanté chez les socialistes de la ville rose.HOLLANDEDans toutes ses confidences, François Hollande n’épargne pas grand monde. Et les frondeurs du PS, qui ont ferraillé tout le quinquennat contre l’orientation économique des gouvernements Ayrault puis Valls, en prennent sérieusement pour leur grade. "Une agrégation de gens intelligents peut faire une foule idiote", persifle ainsi François Hollande à leur égard dans Un président ne devrait pas dire ça, des journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme.Extraits du livre de confidences "Un président ne devrait pas dire ça", les propos du président de la République sur les femmes voilées éclairent ses tergiversations... et sa réelle proximité idéologique avec Manuel Valls.Dans leur ouvrage «Un Président ne devrait pas dire ça ...» qui paraît ce jeudi, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, journalistes du «Monde», révèlent que le chef de l’Etat a milité pour un changement de nom du Parti socialiste.François Hollande a rencontré, mercredi 12 octobre au soir, le premier président et le procureur général de la Cour de cassation, Bertrand Louvel et Jean-Claude Marin, après la publication de propos polémiques du chef de l’Etat sur l’institution judiciaire.A six mois du prochain scrutin présidentiel, le chef de l'Etat revient sur son quinquennat, solde ses comptes avec la gauche et ne craint pas la comparaison avec la droite.CHEVENEMENTVoici le texte validé de l'interview donnée par Jean-Pierre Chevènement à l'Hebdomadaire Le Point qui en reproduit une version contractée, jeudi 13 octobre 2016, propos recueillis par Laureline Dupont et Thomas MahlerMELENCHONC’est le genre de sondage qui devrait pousser Jean-Luc Mélenchon à participer à la primaire initiée par le PS. Selon la dernière livraison du baromètre Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio, le candidat de la France insoumise, quatrième homme de la présidentielle de 2012, entre dans le top 5 des personnalités préférées des Français. Une performance inédite pour un leader de ce qu’on appelle grossièrement la gauche de la gauche et qui se qualifie, elle, tout simplement de gauche, la vraie, celle à laquelle Macron, Valls mais aussi Hollande n’appartiendraient plus.SEGOLENE ROYALLa ministre de l'Ecologie, ancienne présidente de Poitou-Charentes, dont la gestion est actuellement examinée par la chambre régionale, fait l'objet d'un livre réquisitoire, à paraître jeudi. -
L'actualité des socialistes du 7 au 13 octobre
A LA UNE
Le Monde - « Certains proches de Hollande sont consternés par la sortie de son livre d’entretiens »
Les réponses à vos questions sur les conséquences des confidences du président par notre journaliste qui couvre l’exécutif.
Avec la publication des bonnes feuilles, ces derniers jours, de Un président ne devrait pas dire ça, dans lequel le chef de l’Etat se laisse aller à la confidence avec les journalistes du Monde Gérard Davet et Fabrice Lhomme, François Hollande est de plus en plus isolé. Quelles sont les conséquences politiques d’un tel ouvrage ? Bastien Bonnefous a répondu aux questions des internautes.Dans «Un président ne devrait pas dire ça», deux journalistes rapportent des propos de François Hollande sur Marianne, l'islam et l'immigration. Laurent Bouvet décrypte ces déclarations qui n'ont pas tardé à faire réagir la classe politique.
.... "nous ne sommes pas dans un choc ou une guerre de civilisations, nous sommes pris dans un affrontement idéologique contre une vision identitaire, extrémiste, de l'islam, que nous soyons musulmans, d'autres religions ou athées. Et en l'absence de mobilisation politique de tous les républicains, face à cette vision identitaire de l'islam, se déploie une autre vision identitaire, celle d'une civilisation française, blanche, catholique, éternelle et immuable."
Marianne, Joseph Macé-Scaron - 12 octobre 2016, le jour où la campagne d'Hollande s'est crashée
Entre une longue interview dans la presse sans vision d'ensemble, un nouveau livre-confession catastrophique et une énième joute avec Valérie Trierweiler sur l'affaire dite des "sans-dents", ce 12 octobre - qui devait marquer une fracassante entrée en campagne - est un pitoyable fiasco pour François Hollande.
HAMON/MONTEBOUG
Le Point - Hamon et Montebourg, entre mains dans le dos et coups d'épaule
Il y a deux ans encore, ils s'affichaient côte à côte à la Fête de la rose. Les voilà aujourd'hui opposés au premier tour de la primaire de la gauche.
HAMON
Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche pour la présidentielle de 2017, était, lundi 10 octobre, l'invité de franceinfo. Le député PS des Yvelines prône la légalisation du cannabis pour mettre fin à l'hyper-violence dans certains quartiers.
MONTEBOURG
Libé - Primaire : Montebourg et le rassemblement à géométrie variable
En annonçant qu'il ne fera pas campagne pour François Hollande si celui-ci devait remporter la primaire de la «Belle Alliance populaire», l'ancien ministre de l'Economie a le mérite de la clarté, moins de l'élégance ou du fair-play.
Le Républicain Lorrain - Arnaud Montebourg : « Je ne pouvais pas ne pas revenir à Florange »
De retour en Moselle, l’ex-ministre de l’Economie enfonce le clou des divergences qui l’ont opposé à l’exécutif sur le dossier Florange. Des « erreurs » qu’il souhaite voir éviter dans la reprise des chantiers de Saint-Nazaire.
L'ancien ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a assuré mardi sur franceinfo qu'il accepterait le résultat de la primaire du PS à laquelle il concourt, même si elle était remportée par François Hollande, tout en précisant qu'il ne ferait pas ensuite "le chauffeur de salle" pour le président sortant.
Le Monde - Montebourg, ministre (presque) malgré lui
On appelle cela déminer le terrain. Accusé régulièrement par ses adversaires d’avoir soutenu François Hollande, lors de la primaire de la gauche de 2011 puis au cours des deux premières années du quinquennat lorsqu’il était à Bercy, Arnaud Montebourg a décidé de mettre les choses au point dans un livre publié mercredi 12 octobre, intitulé Le retour de la France (Editions J’ai Lu, 96 p., 3 euros), dont Le Monde a pu se procurer une copie.Arnaud Montebourg passe la journée sur Toulouse. C’est sa première sortie après l’officialisation de sa candidature à la primaire du Parti Socialiste. L’ancien ministre a choisi une terre « conquise ». Arnaud Montebourg doit (encore) convaicre les électeurs toulousains. Mais il est déjà solidement implanté chez les socialistes de la ville rose.HOLLANDEDans toutes ses confidences, François Hollande n’épargne pas grand monde. Et les frondeurs du PS, qui ont ferraillé tout le quinquennat contre l’orientation économique des gouvernements Ayrault puis Valls, en prennent sérieusement pour leur grade. "Une agrégation de gens intelligents peut faire une foule idiote", persifle ainsi François Hollande à leur égard dans Un président ne devrait pas dire ça, des journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme.Extraits du livre de confidences "Un président ne devrait pas dire ça", les propos du président de la République sur les femmes voilées éclairent ses tergiversations... et sa réelle proximité idéologique avec Manuel Valls.Dans leur ouvrage «Un Président ne devrait pas dire ça ...» qui paraît ce jeudi, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, journalistes du «Monde», révèlent que le chef de l’Etat a milité pour un changement de nom du Parti socialiste.François Hollande a rencontré, mercredi 12 octobre au soir, le premier président et le procureur général de la Cour de cassation, Bertrand Louvel et Jean-Claude Marin, après la publication de propos polémiques du chef de l’Etat sur l’institution judiciaire.A six mois du prochain scrutin présidentiel, le chef de l'Etat revient sur son quinquennat, solde ses comptes avec la gauche et ne craint pas la comparaison avec la droite.CHEVENEMENTVoici le texte validé de l'interview donnée par Jean-Pierre Chevènement à l'Hebdomadaire Le Point qui en reproduit une version contractée, jeudi 13 octobre 2016, propos recueillis par Laureline Dupont et Thomas MahlerMELENCHONC’est le genre de sondage qui devrait pousser Jean-Luc Mélenchon à participer à la primaire initiée par le PS. Selon la dernière livraison du baromètre Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio, le candidat de la France insoumise, quatrième homme de la présidentielle de 2012, entre dans le top 5 des personnalités préférées des Français. Une performance inédite pour un leader de ce qu’on appelle grossièrement la gauche de la gauche et qui se qualifie, elle, tout simplement de gauche, la vraie, celle à laquelle Macron, Valls mais aussi Hollande n’appartiendraient plus.SEGOLENE ROYALLa ministre de l'Ecologie, ancienne présidente de Poitou-Charentes, dont la gestion est actuellement examinée par la chambre régionale, fait l'objet d'un livre réquisitoire, à paraître jeudi. -
L'invité : Benoit Hamon - La Nouvelle Edition - 11/10/2016
L'invité : Benoit Hamon - La Nouvelle Edition... par lanouvelleedition -
L'actualité des socialistes du 30 septembre au 6 octobre
A LA UNE : PAUL ALLIES
Paul Alliès - Et si les «Primaires citoyennes» étaient le début d’autre chose
Le Conseil national du PS a adopté ce dimanche 2 octobre une résolution (accompagnée d’un vade-mecum détaillé) pour l’organisation de « Primaires citoyennes ». Les conditions pourraient être réunies pour qu’elles ne restent pas au stade de l’opération pro-Hollande telle qu’imaginée par la direction du parti.Les péripéties de l’idée même de Primaire chez les socialistes mériteraient un récit spécifique : entre le 7 juin 2015, quand la majorité du congrès de Poitiers l’enterre, en passant par le 10 janvier 2016, date de l’appel à « Notre Primaire » lancé par un collectif pluraliste, jusqu’à une résolution du Conseil national du PS le 18 juin dernier, le cheminement de la direction Cambadélis aura été contradictoire et erratique. Disons qu’elle est passée de l’hypothèse même d’effacer les Primaires des nouveaux statuts du Parti dans un congrès extraordinaire, à la défense d’une Primaire a minima, réduite au périmètre improbable et restreint de la Belle Alliance Populaire. Le vote de ce dimanche ouvre une nouvelle séquence : les doutes sérieux qui pesaient sur l’organisation du scrutin ont été levés ; celui-ci est ouvert à toute la gauche tant pour ses éventuels candidats (jusqu’au 15 décembre) que pour ses électeurs (les 22 et 29 janvier 2017). La bataille opiniâtre menée par Christian Paul et la gauche du parti (essentiellement le courant « A gauche pour Gagner ») a donc fini par l’emporter. Les résistances de l’appareil, tout entier tourné vers la satisfaction des besoins changeants de François Hollande, ont bel et bien été vaincues.MELANCOLIECHRISTIAN PAUL
LCI - Frondeur du PS : avec Valls, "le verbe a remplacé l'action"
TIEDE BILAN - Invité de "24 Heures en questions" sur LCI mardi soir, le député PS Christian Paul a éreinté le bilan de Manuel Valls. Ce "frondeur" socialiste fustige le bilan "tiède" du gouvernement et juge que la primaire devra trancher les désaccords de la gauche.
PRIMAIRE DE LA GAUCHE
Le Lab - Pour Cambadélis, si Hollande ne va pas à la primaire, "le PS explose"
Jean-Christophe Cambadélis souhaite que François Hollande soit candidat à la primaire de la BAP. Le soutien du Premier secrétaire du PS au président de la République est connu. Mais ce dimanche 2 octobre, le député de Paris va plus loin et conditionne la survie de son parti à la candidature du chef de l’État.
Public Sénat - Primaire de la gauche : un front anti-Hollande peut-il l’emporter ?
Un sondage donne Arnaud Montebourg vainqueur face à François Hollande à la primaire de la gauche. Le rassemblement des frondeurs, autour notamment de Montebourg-Hamon-Lienemann, se prépare.
« Le scenario n’est pas écrit. A la présidentielle, ce n’est jamais le scénario prévu 6 mois avant qui se réalise ». Marie-Noëlle Lienemann est remontée comme une pendule. La candidate à la primaire de la gauche, dont les modalités viennent d’être arrêtées, y croit. La gauche du PS pourraient réussir à « battre la ligne Hollande-Valls pour redonner une chance à la gauche d’être au second tour de la présidentielle » espère la sénatrice de Paris.
Libé - Montebourg (bien) candidat à la primaire
L'ancien ministre a confirmé dimanche sa candidature à la primaire de la Belle Alliance Populaire, dont les modalités d'organisation ont été précisées par le PS. Ce lundi, un sondage le donne vainqueur du scrutin.
FEKL
Il entend réunir « des jeunes, des intellectuels, des élus de toutes les tendances du Parti socialiste (PS), des sympathisants », pour « alimenter le débat public ». Le secrétaire d’Etat au commerce extérieur, Matthias Fekl, va lancer son propre mouvement « pour la vie des idées et des alternatives », baptisé « Movida », a-t-il annoncé au magazine L’ExpressMatthias Fekl, secrétaire d'Etat au Commerce extérieur, a lancé ce mardi 4 octobre au soir son propre mouvement destiné à "alimenter le débat public" d'ici à la présidentielle. Le jeune ministre, "très critique du social-libéralisme" pourra servir d'atout à un François Hollande en pleine quête de légitimation à gauche.HOLLANDEBercy publie un rapport détaillant les hausses et les baisses d'impôts sur le quinquennat, en triant ce qui est imputable à l'administration actuelle, et ce qui l'est à celle de Nicolas Sarkozy.Un intime de François Hollande envoie aux secrétaires fédéraux du PS un message appelant à soutenir la candidature du chef de l'État à la présidentielle 2017.MACRONDans un débat avec Jean-François Kahn organisé par "Marianne", Emmanuel Macron se positionne sur le sujet de la laïcité, s'opposant vivement aux appels "à la discrétion" des musulmans de Jean-Pierre Chevènement et Manuel Valls. Il estime que la République est "ce lieu magique qui permet à des gens de vivre dans l'intensité de leur religion" et pense qu'un catholique pratiquant, par exemple, peut "considérer que les lois de la religion dépassent les lois de la République", "dans sa conscience profonde". Extrait.« L’État doit donner plus de souplesse au marché du travail », « Le libéralisme est une valeur de gauche », « Le statut de fonctionnaire est de moins en moins défendable », « Il y a la politique des artisans et la politique des fainéants »… Qui a dit cela ? Emmanuel Macron.
Temps de travail, indemnisation chômage, statut des fonctionnaires, modèle social… Les auteurs décryptent la vision de l’économie et de la société française du jeune ex-ministre (38 ans) et montrent que, derrière un discours qui s’affiche comme « moderne », se cache une vision de l’économie dépassée, héritière du libéralisme du XIXe siècle.
JEUNESSE
Marianne - La Cour des comptes dézingue les emplois aidés pour les jeunes
Ce cadre posé, l’explosif rapport de la Cour des comptes sur « L’accès des jeunes à l’emploi », rendu public ce mercredi 5 octobre, éclaire comment les pouvoirs publics ont en partie aggravé le sort de la jeunesse tricolore en dirigeant des bataillons de moins de 25 ans vers des contrats aidés (CUI-CIE, CUI-CAE de 20 heures puis des emplois d’avenir) dans les entreprises et plus encore dans les administrations - 160 000 bénéficiaires fin 2014 ! -, plutôt que vers des formations qualifiantes en alternance (apprentissage ou contrat de professionnalisation).
Cour des comptes - L’accès des jeunes à l’emploi : construire des parcours, adapter les aides
La structure du marché du travail en France pénalise tout particulièrement les jeunes. Leur durée d’accès à un emploi stable s’est allongée ; ils sont plus confrontés à la précarité dans l’emploi et au temps partiel subi ; leur taux de pauvreté est élevé. Depuis plusieurs décennies, de très nombreuses aides, mises en œuvre par des opérateurs multiples, ont été déployées pour corriger cette situation. Ce système d’aides publiques présente un coût élevé (10,5 Md€ en 2015) et croissant, mais les résultats obtenus du point de vue de l’accès à un emploi durable ne sont à la mesure ni des objectifs affichés, ni des moyens mobilisés.
Les juridictions financières préconisent de concentrer davantage les aides publiques sur les jeunes les plus éloignés de l’emploi et de privilégier les réponses rapides et les dispositifs intensifs. Leur rapport comprend sept cahiers territoriaux : Est-Ensemble, Le Creusot – Montceau-Les-Mines, Limoux, Saint-Étienne, Seine-Eure / Haute-Normandie, Thiers et Toulouse.ISLAMLe professeur de philosophie avait vivement critiqué dans une tribune le lycée musulman Averroès, à Lille.Le parquet a requis mardi la relaxe d'un ex-enseignant d'un lycée musulman de Lille poursuivi pour avoir publié plusieurs articles qui faisaient état de dérives islamistes au sein de l'établissement. La décision du tribunal correctionnel de Nanterre, devant lequel l'affaire était plaidée, a été mise en délibéré.
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Benoît Hamon donne de sa personne lors de vendanges bio
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Benoit Hamon répond aux questions de Léa Salamé
Benoit Hamon répond aux questions de Léa Salamé par franceinter -
L'actualité des socialistes du 16 au 22 septembre
Le Monde - Jeremy Corbyn renforce son emprise sur le Labour et tourne la page du blairisme
Réélu à une large majorité, le dirigeant du Parti travailliste britannique inflige une défaite cinglante aux députés du Labour qui voulaient se débarrasser de lui.
MONTEBOUG
Francetvinfo - Revivez "L'Emission politique" dont Arnaud Montebourg était l'invité
Arnaud Montebourg, candidat à l'élection présidentielle de 2017, est le deuxième invité de "L'Emission politique", jeudi 22 septembre, sur France 2. L'ancien ministre du Redressement productif, puis de l'Economie, du Redressement productif et du Numérique du gouvernement Valls, démissionnaire en août 2014, sera-t-il candidat à la primaire du Parti socialiste ? En compagnie de David Pujadas et Léa Salamé, il dressera le bilan de la présidence de François Hollande, détaillera les raisons qui le poussent à s'engager de nouveau en politique et expliquera les grands axes de son programme pour lutter contre le chômage, contrôler les marchés financiers et revivifier la démocratie.
Le Monde - Direct politique : notre décryptage de l’interview d’Arnaud Montebourg sur France 2
L’ancien ministre et candidat à l’élection présidentielle est l’invité de « L’émission politique » sur France 2 ce soir. Suivez notre décryptage en direct.Dans « L’émission politique » de France 2, le candidat à la présidentielle a renouvelé ses appels à pouvoir choisir une entreprise pour un marché public au motif que c’est une PME ou qu’elle est française.
Le Figaro - Primaire à gauche : Montebourg se prépare au match face à Hollande«Notre match à nous, il est face à François Hollande. Il sera ensuite face à la droite.» L'équipe d'Arnaud Montebourg misait gros sur sa participation à L'Émission politique, dont le deuxième numéro est programmé jeudi soir sur France 2. Elle savait qu'une partie de ce premier match pouvait se jouer au fil de cette émission, étrennée par Nicolas Sarkozy la semaine dernière. L'ancien ministre du Redressement productif s'y était préparé depuis des semaines. «Nous avons mobilisé des ressources, des expertises avec ceux qui nous ont proposé leur aide. Nous avons organisé des réunions thématiques et généralistes», explique le député PS Laurent Baumel, responsable du pôle programme du candidat à la primaire socialiste, voire à la présidentielle.
Francetvinfo - Présidentielle : Arnaud Montebourg, candidat en construction
Un mois après sa déclaration de candidature à la présidentielle, l'ancien ministre socialiste déroule un "projet France", qui n'est encore que partiellement ficelé.
Chaque semaine, une personnalité répond à un questionnaire de Proust revisité par « L’Epoque ». L’ex-ministre du redressement productif, candidat à l’élection présidentielle, s’est prêté à l’exercice.Gonesse (France) - Arnaud Montebourg (PS), candidat à l'élection présidentielle de 2017, a affirmé lundi soir lors d'une réunion publique à Gonesse (Val-d'Oise) qu'il ne fallait pas faire des "promesses" mais présenter "un projet", appelant "les déçus" du quinquennat Hollande à "construire le futur".PRINTEMPS REPUBLICAINLe collectif citoyen fondé en mars dernier par des personnalités de gauche autour de la défense de la laïcité et du pacte républicain organise une grande soirée ce mercredi 21 septembre à partir de 19 heures à l’Ecole normale supérieure, 10, rue d’Ulm 75005 Paris.Le Printemps républicain, un mouvement qui rassemble les femmes et les hommes de gauche autour de la défense de la laïcité et du pacte républicain, a commandé une enquête sur le thème : "Qu'est-ce qui fait qu'on est français ?". Particulièrement instructif à l'heure où certains, à l'image de Nicolas Sarkozy, invoquent "nos ancêtres les Gaulois" pour décrire ce qui nous réunit...HAMONBenoît Hamon, l’Américain ? Le candidat à la primaire du Parti socialiste (PS) a débuté une tournée aux Etats-Unis dans le cadre de sa campagne française, avec pour point d’orgue une rencontre avec Bernie Sanders, mercredi 21 septembre, à Washington.L’information a été gardée secrète jusqu’au dernier moment, mais l’ancien ministre de l’éducation nationale a passé près d’une heure en tête à tête, au Sénat des Etats-Unis, avec le candidat surprise de la primaire du Parti démocrate, qui s’est incliné, en juillet face à Hillary Clinton. A 73 ans, le sénateur du Vermont, représentant de l’aile gauche des démocrates, avait bousculé la primaire, en portant le fer contre Wall Street et les multinationales.
PRIMAIREUn sondage qui ne devrait rassurer personne à gauche. Selon une enquête Harris Interactive pour France Télévisions*, publiée jeudi 22 septembre, les sympathisants de gauche sont très partagés entre les différents candidats potentiels à la primaire qui sera organisée par le Parti socialiste en janvier 2017.Le Figaro - Primaire à gauche : les candidats devront réunir autant de parrains qu'en 2011
Les modalités de parrainages pour les candidats à la primaire de la Belle Alliance Populaire (BAP) ont été fixées lors d'une réunion au siège du PS, mardi.
La primaire de la belle Alliance Populaire, annoncée pour le mois de janvier prochain aura bien lieu. Un certain nombre de candidats sont déjà annoncés la ligne de départ, bien que les conditions précises de déroulement du scrutin restaient jusqu'ici assez floues.
Le JDD - La primaire de gauche, un casse-tête financier pour le PS
Une réunion a lieu mardi au siège du Parti socialiste pour examiner les enjeux budgétaires liés à la primaire de gauche. À l’Élysée, un proche du Président est déjà discrètement chargé de cette mission.
HOLLANDE
Le Monde - Le testament de François Hollande sur la Syrie
Le président a réaffirmé devant l’Assemblée générale de l’ONU la position de la France sur le conflit syrien : soutien à l’opposition et départ de Bachar Al-Assad.
Il faut lui reconnaître le mérite de la constance. Le soutien à la rébellion et l’engagement pour une Syrie démocratique, unitaire et pluraliste en lieu et place de la sanglante dictature de Bachar Al-Assad sont restés, tout au long de son quinquennat, au cœur de l’action diplomatique de François Hollande. Le président français l’a à nouveau montré mardi 20 septembre, dans son discours à l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations unies (ONU).AUBRY
L'Obs - Présidentielle : 8 signes qui montrent que Martine Aubry va soutenir François Hollande
LE PLUS. Martine Aubry a fait sa rentrée politique à Lomme ce 17 septembre, en même temps que "l’université de l’engagement", soutien de François Hollande. La maire PS de Lille n'a pas confirmé qu’elle s’apprêtait à soutenir le président sortant, malgré les rumeurs d’un rapprochement entre les anciens adversaires de 2011. Une position qui ne fait pas oublier les nombreux signes de son futur soutien au chef de l’État, estime Thierry de Cabarrus.
SECU
Affaires sociales et de la Santé dévoile ce qui va changer pour la Sécurité sociale en 2017. 4 milliards d’économies vont être réalisés sur l’assurance-maladie. De nouvelles taxes seront instaurées sur l’industrie du tabac.Le pari de ramener le régime général de la Sécurité sociale à l’équilibre serait-il sur le point d’être tenu ? Sans attendre la présentation officielle du dernier projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) du quinquennat, prévue vendredi 23 septembre, la ministre des affaires sociales et de la santé, Marisol Touraine, a tenu à annoncer elle-même la bonne nouvelle dès jeudi soir. « En 2017, le trou de la Sécu aura disparu », a-t-elle assuré aux Echos.ISLAMUne étude menée par l’IFOP et l’Institut Montaigne sur les choix des Français de confession musulmane confirme une religiosité dominante. 65% des sondés sont favorables au voile. Pour 28% - les plus jeunes - la charia prime sur les lois de la République.HUIS CLOS
Libé - Un PS toujours plus à huis clos
Après les conseils nationaux, la direction du Parti socialiste ferme l'accès de ses ateliers organisés dans le cadre de ses «universités de l'engagement». Impossible d'observer les débats qui animent le parti au pouvoir.
ATTERRISSAGE
Libé - Cinq ministres à la recherche d’une piste d'atterrissage électoral
A quelques mois des investitures socialistes aux législatives, passage en revue des membres du gouvernement qui veulent tenter leur chance pour un poste de député en 2017.
En 2012, elles n’avaient pas tenté leur chance. Soit parce que leur mandat local leur suffisait, soit parce qu’elles n’étaient pas encore connues, soit parce que la circonscription qu’elles pouvaient viser était bien trop à droite. Mais pour 2017, elles sont plusieurs au gouvernement à se chercher une piste d’atterrissage électorale aux prochaines législatives et s’imaginer un futur de députée.
PS (communiqué)
60 000 postes dans l’éducation : engagement tenu !
Le Parti socialiste se félicite que l’engagement du président de la République devant les Français de créer 60 000 postes dans l’éducation soit tenu.
L’éducation est redevenue, et de loin, le premier budget de la Nation. Le projet de loi de finances 2017 conforte cette ambition pour les élèves avec la création de 12 842 postes dans l’Education qui s’ajoutent aux 47 158 postes créés à ce jour. Ainsi, entre les rentrées 2012 et 2017, 54 000 postes auront été créés dans l’Education nationale, 5 000 postes dans l’Enseignement supérieur et 1 000 dans l’Enseignement agricole.
Dans le cadre de la 23ème journée mondiale de lutte contre la maladie d’Alzheimer, le Parti socialiste souhaite réaffirmer sa solidarité avec les 900.000 français affectés par cette maladie et les 4 millions de nos concitoyens directement concernés au quotidien par la maladie d’un proche.Paradoxalement, la croissance du nombre de malades est la conséquence directe d’une évolution positive : celle de l’allongement de la durée de la vie. Et, si cette maladie n’a pour l’heure trouvé aucun traitement permettant de ralentir sa progression, de fragiles espoirs existent toutefois d’une stabilisation à terme de sa prévalence. -
Benoît Hamon invité du Grand Jury, dimanche 25 septembre 2016 - Partie 1
Benoît Hamon invité du Grand Jury, dimanche 25... par rtl-fr -
Benoît Hamon invité du Grand Jury, dimanche 25 septembre 2016 - Partie 2
Benoît Hamon invité du Grand Jury, dimanche 25... par rtl-fr -
Invité : Benoît Hamon - Territoires d'infos - Le Best of (15/09/2016)